La nuit du revolver : Un reporter enquête sur le sujet le plus sombre : sa propre vie
David Carr
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Toxicomane pendant plus de vingt ans, le journaliste américain réalise que ses souvenirs de cette période sont altérés. Il décide d'employer les techniques d'investigation pour enquêter sur sa propre existence. En se fondant sur des entretiens avec des proches, des policiers, des médecins et des avocats, il livre un témoignage …
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Description
- Titre(s)
- La nuit du revolverUn reporter enquête sur le sujet le plus sombre : sa propre vie
- Auteur(s)
- David Carr (Auteur)
- Collation
- 1 vol. (589 p.) ; couv. ill. ; 21 cm
- Centre(s) d'intérêt
- Document critiqué
- Année
- 2017
- Domaine thématique
- Toxicomanie, alcoolisme, drogue : aspect social et juridique.
- Identifiant
- 2-8404-9719-0
- Langue(s)
- français
- Résumé
- Toxicomane pendant plus de vingt ans, le journaliste américain réalise que ses souvenirs de cette période sont altérés. Il décide d'employer les techniques d'investigation pour enquêter sur sa propre existence. En se fondant sur des entretiens avec des proches, des policiers, des médecins et des avocats, il livre un témoignage sur les paradis artificiels, le trafic de drogues et la quête de soi.
- Prix
- 22 EUR
- Editeur(s)
- Séguier
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Médias
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Avis
Des professionnels
le 09 mars 2017
Dans « A la une du New York Times », film documentaire dont il est le protagoniste, David Carr apparaît comme un journaliste pugnace, sûr de lui, inspirant le respect autant à ses collègues reporters qu'à la jeune génération qui l'écoute avec déférence. En scrutant son passé de cocaïnomane, c’est un aspect moins reluisant qu'il révèle ici.
Vous redoutez une lecture sinistre, le pesant récit à la sauce américaine d'un born again ? Détrompez-vous. Même si, d'origine irlandaise, David Carr est un catholique pratiquant, il se réfère peu à la religion : c'est la seule naissance de ses jumelles qui fut le point de départ de sa désintoxication. Et si son histoire est violente et pathétique à bien des égards, son charisme, sa flamboyance et son humour, qui lui ont assuré toute sa vie le soutien de ses amis, collègues et parents, maintiennent tout au long de « La nuit du revolver » l'intérêt et l’empathie du lecteur. Réflexion sur la mémoire et la fabrication des souvenirs, son témoignage est aussi le récit d’un apprentissage commun à bien des êtres humains : celui qui consiste à dominer sa dualité, à ne plus compartimenter son existence, à faire cohabiter les différentes facettes de son identité et donc à se réconcilier avec soi.
Vous redoutez une lecture sinistre, le pesant récit à la sauce américaine d'un born again ? Détrompez-vous. Même si, d'origine irlandaise, David Carr est un catholique pratiquant, il se réfère peu à la religion : c'est la seule naissance de ses jumelles qui fut le point de départ de sa désintoxication. Et si son histoire est violente et pathétique à bien des égards, son charisme, sa flamboyance et son humour, qui lui ont assuré toute sa vie le soutien de ses amis, collègues et parents, maintiennent tout au long de « La nuit du revolver » l'intérêt et l’empathie du lecteur. Réflexion sur la mémoire et la fabrication des souvenirs, son témoignage est aussi le récit d’un apprentissage commun à bien des êtres humains : celui qui consiste à dominer sa dualité, à ne plus compartimenter son existence, à faire cohabiter les différentes facettes de son identité et donc à se réconcilier avec soi.