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Le syndrome de la chouquette : ou La tyrannie sucrée de la vie de bureau

Nicolas Santolaria

69 chroniques qui décortiquent la vie professionnelle de bureau, entre échanges à la machine à café, travail en open space, nouvelles théories de management ou encore anglicismes et relations humaines.

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Description

Titre(s)
Le syndrome de la chouquette
ou La tyrannie sucrée de la vie de bureau
Auteur(s)
Nicolas Santolaria (Auteur)Matthieu Chiara (Illustrateur)
Collation
1 vol. (239 p.) ; ill. ; 18 cm
Centre(s) d'intérêt
Document critiqué
Année
2018
Sujet(s)
Milieu de travail : 1990-....Relations industrielles : 1990-....
Domaine thématique
Humour
Identifiant
1-09-577240-6
Langue(s)
français
Notes
Recueil des chroniques "Bureau-tics" initialement publiées dans "Le Monde"
Résumé
69 chroniques qui décortiquent la vie professionnelle de bureau, entre échanges à la machine à café, travail en open space, nouvelles théories de management ou encore anglicismes et relations humaines.
Prix
14,90 EUR
Editeur(s)
Anamosa
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Avis

Des professionnels

Par JFP (BIBLIOTHÉCAIRE)
le 03 août 2018
L’excès d’anglicismes au boulot vous donne de l’urticaire ? Les moofers à l’assaut des cafés, vous en avez votre dose ? Vous cherchez une réponse à une question aussi épineuse que « faut-il se marrer aux blagues du chef » ? Les néo-concepts fumeux censés régir la vie au travail vous agacent mais vous avez pris le parti d’en rire ? Dans tous les cas, ce livre de Nicolas Santolaria est pour vous. Dans un style proche de celui de Frédéric Pommier, drôle, acéré et dupe de rien, il démontre en quoi certaines théories d’organisation du travail sont absurdes (découvrez le forced ranking, p. 192) et dévoile quelle réalité cachent certains néologismes sous couvert d’innovation et de cool attitude (voir jobbing, p.58). Il n’épargne pas non plus l’employé de bureau, ses petits rituels, sa mauvaise foi, son côté flemmard, son goût pour le ragot.
Initialement publiées dans « Le Monde », ces chroniques peuvent se lire dans un ordre totalement aléatoire. Ne ratez pas celle sur la conversion -fictive- d’un propriétaire de chambres d’hôtes en Provence trouvant enfin son épanouissement comme contrôleur de gestion dans une multinationale. Ni le récit véridique d’un candidat à un poste de barman rédigeant une lettre de motivation très, très éloignée des conventions.
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