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Description

Titre(s)
Les grandes artères
Si tu reviens
St-Michel
Tête première
La fanfare
Vol plané
Le jour où elle m'a dit je pars
Faire semblant
Complot d'enfant
Jouer des tours
Traverser le stravaux
Deux saisons trois quarts
Les hélicoptères
Montagne russe
Auteur(s)
Louis-Jean Cormier
Collation
1 CD ; 1 livret
Centre(s) d'intérêt
Document critiqué
Année
2016
Genre
Musique : chanson francophone
Style musical
Chanson francophone
Résumé
Louis-Jean Cormier, le chanteur/guitariste de Karkwa, bouscule à nouveau les codes avec son deuxième album solo, Les Grandes Artères. Le monsieur est déjà une véritable vedette dans la Belle Province avec trois Félix (l'équivalent de nos Victoires) et un disque d'or pour chacun de ses disques sous son nom. Le voici désormais à la conquête de l'Hexagone, armé de treize chansons taillées pour tout emporter sur leur passage. Cormier a la plume affûtée et sait raconter les colères et les rêves de sa génération (difficile de ne pas deviner le Printemps Erable derrière La fanfare) mais il sait surtout sculpter une pop pastorale qui nous rappelle qu'il a les mêmes paysages sous les yeux que ses voisins d'Arcade Fire (écoutez par exemple le superbe Si tu reviens).
Prix
14,20 E
Editeur(s)
Yotanka
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Avis

Des professionnels

Par JFP (BIBLIOTHÉCAIRE)
le 13 juin 2017
Dans « Les grandes artères », les gens dérapent, les gens trébuchent, ils sombrent, ils fuient, ils se séparent. Mais pas seulement : dans « Les grandes artères » aussi, des mains se tendent, des ponts se créent : entre le sans-abri et l’automobiliste pressé, entre l’amant repentant et sa belle évaporée, entre le proche secourable et l’ami qui tombe. Les relations humaines, aussi imparfaites soient-elles, sont le moteur des chansons du québécois Louis-Jean Cormier dont le sens du collectif éclate dans « La fanfare », hymne tonifiant à la combativité. Passant de la folk à des sonorités plus psychédéliques, l’album, qui fait la part belle au banjo et aux cuivres, est sans aucun temps mort, sans la moindre faiblesse. Il se montre renversant jusque dans ses tout derniers titres parmi lesquels « Deux saisons trois quarts » où, l’air de rien, le temps d’une escapade à deux, tout est dit du désir de liens qui jamais ne se déferaient.
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