72 rue Gambetta 59110 La Madeleine

Ouvrira à 10:00

Recherche avancée
Couverture de Sur les chemins noirs

Sur les chemins noirs

Sylvain Tesson

Après une mauvaise chute qui a failli lui coûter la vie et causé de multiples fractures, le narrateur se retrouve à l'hôpital pendant plusieurs mois. Sur son lit, il se promet que s'il est rétabli, il traversera la France à pied. Une fois sorti, il entreprend un voyage de quatre …

Merci de patientier...

Exemplaires

Merci de patientier

Description

Titre(s)
Sur les chemins noirs
Auteur(s)
Sylvain Tesson (Auteur)
Collation
1 vol. (141 p.) ; ill., couv. ill. en coul. ; 21 x 14 cm
Centre(s) d'intérêt
Document critiqué
Collection(s)
Blanche
Année
2016
Sujet(s)
Randonnée pédestre : FranceFrance : Descriptions et voyages : 1990-....
Domaine thématique
Roman français, nouvelle française
Identifiant
2-07-014637-5
Langue(s)
français
Résumé
Après une mauvaise chute qui a failli lui coûter la vie et causé de multiples fractures, le narrateur se retrouve à l'hôpital pendant plusieurs mois. Sur son lit, il se promet que s'il est rétabli, il traversera la France à pied. Une fois sorti, il entreprend un voyage de quatre mois à travers les chemins de campagne, à la reconquête de lui-même, depuis Tende (Alpes-Maritimes) jusqu'au Cotentin.
Prix
15 EUR
Editeur(s)
Éd. Gallimard
Merci de patientier...

Médias

Merci de patientier

Avis

Des professionnels

Par JFP (BIBLIOTHÉCAIRE)
le 07 décembre 2016
Qui a lu « Dans les forêts de Sibérie » ou « Bérézina » sera ici en terrain connu. L’écriture est, comme toujours, riche et élégante (pour qui n’est pas allergique à l’emploi du passé simple et de l’imparfait du subjonctif). Le récit, hybride, mêle impressions de voyage et réflexions qu’inspirent à Tesson les paysages qu’il traverse, marqués par la périurbanisation, l’agriculture intensive et des modes de vie déconnectés de ce qu’il considère, lui, comme essentiel. C’est précisément sa « stratégie de retrait » par rapport à la vision du progrès en vigueur depuis les Trente glorieuses qui contribue à sa reconstruction physique et psychique. Et le fait se livrer (plus qu’à l’accoutumée ?) sur la filiation ou l’amitié (celle qu’il entretient avec Cédric Gras donne lieu à certaines des plus belles pages).
Son livre, empreint d’inquiétude sur l’avenir mais pas désespéré, se révèle aussi enthousiasmant que celui consacré à la marche par l’anthropologue David Le Breton que passionne un autre thème, cher aussi à Sylvain Tesson : celui de la disparition de soi.
Se connecter