44 jours : the Damned United
David Peace
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Le lendemain de Noël 1962, l'avant-centre de l'équipe de Sunderland, Brian Clough, se blesse. C'est, à l'âge de 28 ans, la fin de sa carrière de footballeur. Avide de revanche, il devient entraîneur et mène à la victoire l'équipe de Derby en 1972. Deux ans plus tard, il prend la …
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Exemplaires
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Description
- Titre(s)
- 44 joursthe Damned United
- Auteur(s)
- David Peace (Auteur)Daniel Lemoine (Traducteur)
- Collation
- 1 vol. (471 p.) ; couv. ill. ; 17 cm
- Collection(s)
- Rivages noir
- Année
- 2010
- Domaine thématique
- Roman anglais, nouvelle anglaise
- Genre
- Littérature : biographie-autobiographie
- Identifiant
- 2-7436-2074-9
- Langue(s)
- français
- Résumé
- Le lendemain de Noël 1962, l'avant-centre de l'équipe de Sunderland, Brian Clough, se blesse. C'est, à l'âge de 28 ans, la fin de sa carrière de footballeur. Avide de revanche, il devient entraîneur et mène à la victoire l'équipe de Derby en 1972. Deux ans plus tard, il prend la direction du prestigieux club de Leeds. Mais en 44 jours, la carrière de Clough vire au cauchemar.
- Prix
- 9,50 EUR
- Editeur(s)
- Éd. Payot & Rivages
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Avis
Des professionnels
le 13 juillet 2018
Franc-tireur et grande gueule dont l’arrogance conduira à l’isolement, figure flamboyante courtisée par les médias, individu ingérable pour les dirigeants de clubs mais adoré des supporters, Brian Clough demeure un entraîneur marquant de l’histoire du football anglais. C’est aussi quelqu’un miné par le doute, conscient de la brièveté des carrières sportives et de la brutalité de certains revers de fortune.
C’est à partir de la personnalité tapageuse de Clough et de deux périodes-clés de son parcours, l’une heureuse, l’autre moins, que le romancier britannique David Peace tisse son récit. Un récit sous tension permanente d’où se dégage une poésie inattendue : même aux oreilles du profane en matière de ballon rond, l’énumération de noms de joueurs pourtant inconnus résonne étrangement, hypnotise presque. C’est là le tour de force de « 44 jours » : captiver le lecteur au-delà du cercle des amateurs de foot. Seul prérequis exigé : de l’indulgence pour les tempéraments fougueux, pour les éternels intranquilles.
C’est à partir de la personnalité tapageuse de Clough et de deux périodes-clés de son parcours, l’une heureuse, l’autre moins, que le romancier britannique David Peace tisse son récit. Un récit sous tension permanente d’où se dégage une poésie inattendue : même aux oreilles du profane en matière de ballon rond, l’énumération de noms de joueurs pourtant inconnus résonne étrangement, hypnotise presque. C’est là le tour de force de « 44 jours » : captiver le lecteur au-delà du cercle des amateurs de foot. Seul prérequis exigé : de l’indulgence pour les tempéraments fougueux, pour les éternels intranquilles.